LA PRESSE

Le Pays

Peintures  aux  couleurs  douces, comme  le  son  de son euphonium, tendres   comme la fraîcheur du petit matin, intimes comme une poésie écrite pour un  seul être. Peintures  qui, au-delà  du  premier émoi  de   la  découverte prend l'amateur par les sens pour le conduire vers un imaginaire qu'il s'approprie peu à peu. C'est  la le privilège de  l'artiste  qui offre son  œuvre pour  lui  donner  une impulsion  différente,  une  autre vie. Ailleurs, en  des  lieux imaginaires où toujours  musique et   peinture se marient. Pour  le meilleur  bien  sûr.

L’est Républicain

Les  portraits  vigoureusement  esquissés semblent avoir été estompés par  le    temps    qui   passe,   ses   silhouettes  sont-elles   ombres  d’un passé proche que la mémoire cherche désespérément à faire revivre ?                                                                                                                  Les œuvres qui font large place aux scènes de la rue et aux portraits insolites. Amoureux du midi de la France et de ses lumières, Yves Keusch les reproduit dans ses dessins en laissant jouer les interpénétrations des différentes couleurs. Emotions et insolite garantis.

Le Gapençais

Quelques notes perlées de bleu enlèvent la monotonie de ses œuvres, lavis, encres de chine : une peinture qui se respire . . .                               Il a le secret des encres. Avec lui, ce qui est énigmatique, s'éclaire peu à peu, ce qui est en apparence fortuit prend forme et acquiert une signification inattendue, pour ne pas dire inespérée. Le hasard devient projet, le labyrinthe s'architecture, tout s'organise et se structure.

Le Dauphiné Libéré

Yves Keusch peint et sculpte la femme parce qu’il aime les femmes. On ne saurait lui reprocher ce penchant, cette inclinaison car à travers ses couleurs ( bleu émeri,  jaune édulcoré, rouge attendri, gris lumineux ) les formes données sans lubricité aucune apparaît un idéal féminin.

La Presse

La prise de contact est rude, lorsque le regard embrasse l’ensemble des peintures; le peintre travaille avec des couleurs sombres et vives à la fois qui agressent et donnent d’abord, une impression de tristesse, de « cafard »

Les Affiches

Artiste anxieux, angoissé, ou réaliste pragmatique, Yves Keusch ne serait-t-il pas, comme beaucoup d'humains, l'un et l'autre tour à tour, ou entre les deux ?

L’est Républicain